Félicitations à tous les participants à la clôture du jour.
    C'est quoi, un bon film de super héros ?
    Ca dépend. Un mélodrame ou une tragédie.
    Le super héro doit avoir vécu un drame, qui l'a mené au bord de la schyzophrénie. Son trauma est symbolisé par un catalyseur phobique, qui devient son symbole et auquel il finit par s'identifier. Sa vie sentimentale est un désastre, entretenupar son esprit de sacrifice. La mission sacrée qu'il s'est imposé lui mème, exige une vie qui confine à une existence monacale.
    En ce sens, Batman Begins et sa suite, The Dar Knight, sont des chefs d'oeuvre absolus du genre. La séie des Spider man est une bonne initiation. Mais, franchement Hellboy, c'est de la merde.
    Bon suaire.


- Hé, attend !
- Quoi ? T'es qui toi ? tu fais quoi dans mon article ?
- Je suis ta conscience, je te dis que ton article est nul, et je t'emmerde !
- Je la voyai plus polie, ma conscience.
- C'est la brutalité de la franchise...
- T'es obligée d'étre aussi franche ?
- Ben, c'est un peu mon caractére, par définition.
- Bon, ben, franchement, ta gueule. C'est mon blog. Je fais qu'est ce que je veux. Méme écrire comme un tâcheron. Et si j'ai envie de dire que Batman, c'est cool, et Hellboy, c'est de la merde, ben je le fais. Voila.  

Naincolas va emprunter des sous.
À toi, si tu veux, à moi, si je peu, à tout le monde.
C'est bien.
Ça fera un peu de ronds dans la caisse pour faire quelques travaux d'étanchéité dans la maison france, qui prend l'eau de toutes part. Le problème, c'est que des sous, on en doit déja plein.
Prenons un bébé. Une fille, tiens. Apellons la Marie. Et confions à requiem29, qui aime, comme chacun sait, parler de lui à la troisième personne, la mission de lui annoncer la dette du pays. Déjà, requiem trouve pas ça très sympa. Il y est pour rien, et, comme chaque année, il à calculé qu'il à rapporté à son pays, en charges, taxes, impôts divers, beaucoup plus qu'il ne lui en à coûté, parce que requiem est un bon citoyen, et il aime que ça se sache.
Or donc, voilà un croque-morts bien embêté qui se présente devant la petite Marie, née il y à une demi heure, mais déjà dotée de la parole, non par intervention divine, mais par simple commodité narrative.
''Déjà ?'' dit Marie.
''Déjà quoi ?'' répond requiem, surpris.
''Tu viens déjà me chercher ? J'ai pas de pot. C'est quoi ? Mort subite ? Accident à la naissance ? Je suis née avec une malformation ? 'tain, j'ai pas de pot, je me sent en pleine forme ! Attends, me dit pas que j'ai déjà été victime d'un sérial killer !'' s'exclame Marie.
''Hé ! Tu délires ?'' requiem ouvre de grands yeux.
''Pas ma faute, pendant qu'elle m'attendait, ma mère passait son temps devant la télé, à se repasser les cinq Saw. Bon, alors, je suis morte ? On peut dire que ce fut bref''.
Requiem lève les yeux au ciel et marmonne ''les gosses.. '' puis, plus fort ''Nan. En fait, c'est pour te demander des sous''.
C'est au tour de Marie de regarder requiem comme un extraterrestre ''Ah ouais ? Tu acceptes les chèques ? Tu prends l'American express ? Mince, j'ai rien sur moi. C'est sûrement parce que j'ai pas de poches. Permet moi d'attirer ton attention sur un détail : je suis un bébé''.
''Ouais, ben déjà, de mon temps, les bébés avaient plus de respect pour leurs aînés. Insolente !''
''Vieux débris !''
''Ben en attendant, je voulais te le dire avec des pincettes, mais tant pis : tu dois 30000 euros à la France''
''À la France ? Pourquoi ?''
''Ben techniquement, c'est pas vraiment à la France. Tu dois 30000 euros à ceux à qui la France a emprunté du pognon. Comme moi, d'ailleurs. Comme tous les gens que tu croiseras dans ta vie''
''Oh ! Hé ! C'est quoi cette histoire ? J'ai rien signé moi ! Je viens d'arriver !''
''Ben ouais. Mais c'est comme ça. Tu vas aller à l'école, et l'état va emprunter pour payer le salaire de tes profs, parce qu'il n'y a plus de pognon dans la caisse. Tu seras malade, et la sécu va emprunter pour te rembourser tes dépenses de santé. L'impôt sur le revenu ne suffit même plus à rembourser les intérêts de la dette. Tu veux un dessin ?''
''Un mouton, ça serait bien. Bon, si je comprend bien, je suis dans la m..de, et pas que dans ma couche ?'' Marie glisse un coup d'oeil vers le ventre de sa mère ''et je suppose que je peu pas faire demi tour ?''
requiem enfile son manteau, s'apprête à quitter la chambre ''Ben non. Pas de demi tour possible. Quand tu atteindras ta majorité, la dette aura sans doute doublé, puisqu'elle tend à devenir exponentielle. Si la France existe encore, bien sûr... Ah, j'oubliai ! Arheu arheu ! Bienvenue dans le monde !''

Félicitations à tous les participants à la clôture du jour.
    Aprés une aprés-midi en ville, passée à subir la vision de tonnes de cellulite et de fond de teint "paske je le veau bi1", étalées par de jeunes femmes qui savent qui est Clara Morgane (comme moi, qui connait toute son oeuvre) mais n'ont jamais entendu parle de Kierkegaard (alors que moi, je connais également toute son oeuvre) définitivement, je suis pour la burka.
    Bordel, pardon je voulais dire fichtre, diantre, par la malepeste, morbleu, les filles, pensez aux mecs qui, passé 35 ans, commencent à s'inquiéter de laur libido : ne mettez pas de jupes quand vous n'en avez pas les moyens. Qui sont ces jeunes filles habillées comme des péripatéticiennes, maquillées comme des péripatéticiennes, et qui ne savent pas ce que péripatéticienne veut dire ?
    Ta fille ? Oups... Boulette.
    Il y a dans mon entourage quelques femmes qui usent de la minijupe, et dont le galbe de la jambe ainsi exhibée ouvre les portes d'une réverie fantasmatique érotique et bucolique laissant entrevoir une seconde une jouissance fugace lors d'unbe étreinte passionnée dictée par un désir qui pourrait ouvrir les portes à l'amour eternel et pur dont on ne saurai taire plus longtemps le nom et merde j'ai oublié de respirer
    Hhhh pffff hhhhh pfff
    Ca va mieux.
    Ces femmes, délicates et féminines, heureusement, permettent d'oublier le fugace et indicible apercu des pétasses susdécrites.
    Quand à ces pouffiasses susnommées, les pétasses susdécrites auxquelles je faisait allusion au paragraphe susécrit, enfn, quoi, suivez ! Ces illettrées court vétues, je propose donc de leur faire porter la burka. D'ailleurs, on pourrait aussi les marier de force vec quelque lieutenant de Ben Ladvousavezqui, afin qu'elles apprennent ce que c'est que sont respectivement la liberté et sa privation, afin que la phrase que j'entendis place Stanislas, dimanche aprés midi, je cite :
"vas y fé pa ta pute pass moi 1 bière"
restitué en langage SMS de circonstances, quoi qu'incorrectement orthographié, puisque beaucoup trop prés, par rapport aux régles sémantiques prébubére contempraines, d'un langage à la trame grammaticale rigoureuse et juste eut égard aux normes fixées par l'Académie Française, prenne enfin dans la bouche de icelle qui l'ânonne le gout amer de la honte qui nous envahis lorsqu'on se rend compte qu'on est, nonseulement vulgaire, mais insultant pour celle et ceux qui, au cours des siècles, ont donné leur vie pour conquérir cette liberté.
    Ho, dites, je me rend compte d'un truc...
    Plait il ?
    Non, ce dont je me rend compte, ce n'est pas que je suis un affreux réac, ou allez vous chercher tout ca ?
    Ce dont je me rend compte, c'est que certaine phrases sont beaucoup trop longues.
    Bon suaire.

Félicitations à tous les participants à la clôture du jour.
Or donc, ce n'est pas tout de prétendre à écrire un blog et de le soumettre à un lectorat de qualité, et oui, je parle de toi, hé, pomme à l'eau, suis un peu, dans la limite de tes capacités, évidemment. Je disait donc, c'est difficile de tenir un blog pour lequel on écrirait un article qui serait publié à minuit une (00:01) TOUS LES JOURS. Il faut de l'inspiration, il faut des idées, il faut du talent, que dis-je, du génie, et beaucoup, beaucoup d'humilité.
Evidemment, ces qualités, je les ais. C'est juste le temps d'écrire 365 articles par an qui sera dur à trouver. Pour les sujets, je suis pas inquiet : tant que George Walker Bush sera président, il n'en manquera pas.
Hein ? Il l'est plus ?
Ah merde : me voila vachement inquiet. Au point de descendre de plusieurs niveaux mon champ lexical.
Sérieusement (oui, parce que je plaisantai, excepté bien sur pour le génie et l'humilité), ça me fait penser à une phrase de Stephen King, qui comparait son inspiration à une chasse d'eau céleste qui se viderait sur sa tête. En d'autre termes, on n'écrit jamais aussi bien que quand on est dans la merde, le moral dans les chaussettes (j'extrapole un peu sur King, hein !), et, me rendant compte que la première partie de cet article est bien minable, je m'en vais suivre mes propres conseils et aller incontinent (non, je ne souffre d'aucun problème de fuites. Incontinent, ça veut dire immédiatement) consulter mon relevé de compte en ligne.
Bougez pas, je reviens.
...
Ok. Je suis encore plus dans la déche inspiré que je le croyait.
Bon, faisons le décompte de la journée d'hier, voulez vous ?
Alors, nous avons :
- 3 morts en montagne, dans un accident de randonnée.
- 7 morts du côté d'Annecy, un baptéme de l'air en hélicoptére qui a mal tourné. Surtout ses pales.
- 70 morts en Irak. Un attentat de routine.
- 1/2 mort dans une fusillade entre bandes de jeunes en région parisienne. Il compte pour moitié parce qu'il n'y a que son cerveau qui ne marche plus, au gars. Ses copains se demandent en quoi c'est si grave.
Ce qui nous fait : Dieu : 80.5, Obama : 0.
J'ai toujours dit que ce gars serait assez nul dans le genre sauveur du monde. Si vous voulez un chevalier noir, apellez Batman, plutôt.
Donc, puisqu'on parle d'inspiration, et pour rebondir sur mes pieds avec élégance (en fait, ça fait 17 lignes que vous avez du vous rendre compte que je rame) les preux chevaliers sauveurs du monde m'ennuient profondément. Entendons nous bien : j'ai rien contre Obama. Simplement, sa bopnne volonté et son idéa m'ennuient profondément. Je sais pas pourquoi les gens continent à croire en lui, ni méme d'ailleurs pourquoi ils ont cru en lui depuis le début. On sait trés bien qu'il va lamentablement échouer. C'est pas sa faute. C'est la nature humaine. L'homme est obsédé par trois idées, ou plutôt par l'idée des emplacements des éléments qui constituent sa vie :
- La place de l'argent est dans la poche de l'homme.
- La place de la femme est dans le lit de l'homme. (la place des vétements de la femme n'y est pas...)
- La place des autres hommes est au bout du canons de sa Kalashnikov/M16/FA-MAS.
Que la place d'Obama soit à la Maison Blanche ou pas ne changera rien au postulat ci-dessus. Désolé.
Je me rend compte d'un truc : il n'y a personne dans mon lit, j'ai pas de fusil et pas un rond.
Voila autre chose : je suis un mec bien. Encore une mauvaise habitude qu'il va falloir perdre.

Félicitations à tous les participants à la clôture du jour.
Ici se trouvait un article automatique d'Overblog.
Je l'ai supprimé.
Puisses-t-il reposer en paix.